Mahn Kloix est né à Paris en 1980.
Il vit et travaille à Marseille depuis cinq ans.
L’artiste a grandi au sein d’une famille engagée, portée par les grands combats sociaux. Et si l’activisme plane au-dessus de sa tête, le jeune homme va, lui, s’engager par la création artistique.
En 2003 il entre aux Gobelins, l’école de l’image, il passe également une partie de ses études à Besançon : il y subit alors l’influence du Bauhaus puis de l’école suisse « épurée, froide et nette ». Les esthétiques des grands affichistes allemands et russes. Steinlen, Cassandre, Loupot, Savignac l’inspirent.
Mahn Kloix, voyage, dessine, commence à s’a!cher dans l’espace public. Installé à Marseille depuis 2011, il fait de la vieille cité historique sa ville de départ vers l’exploration des luttes alentours : Dans le ventre d’Istanbul, il croise le chemin de centaines de jeunes manifestants. Il se met alors à croquer ces visages de Protester, pour ensuite leur rendre hommage en affichant leurs portraits dans la rue. Les soulèvements de la révolution de jasmin en Tunisie ou le mouvement des indignés à Athènes constitueront également la matière brute à un projet global qui se dessine alors lentement : Small is big. Un leitmotiv pour dire et mettre en lumière les luttes, se rapproprier les combats, traverser et témoigner des grands courants de résistance. « Lanceurs d’alertes, réfugiés, activistes au sein de structures humanitaires ou Femens sont quelques-uns des combats et engagements promis à tenir l’a »che à l’avenir dans mon travail » confie l’artiste.
L’artiste a grandi au sein d’une famille engagée, portée par les grands combats sociaux. Et si l’activisme plane au-dessus de sa tête, le jeune homme va, lui, s’engager par la création artistique.
En 2003 il entre aux Gobelins, l’école de l’image, il passe également une partie de ses études à Besançon : il y subit alors l’influence du Bauhaus puis de l’école suisse « épurée, froide et nette ». Les esthétiques des grands affichistes allemands et russes. Steinlen, Cassandre, Loupot, Savignac l’inspirent.
Mahn Kloix, voyage, dessine, commence à s’a!cher dans l’espace public. Installé à Marseille depuis 2011, il fait de la vieille cité historique sa ville de départ vers l’exploration des luttes alentours : Dans le ventre d’Istanbul, il croise le chemin de centaines de jeunes manifestants. Il se met alors à croquer ces visages de Protester, pour ensuite leur rendre hommage en affichant leurs portraits dans la rue. Les soulèvements de la révolution de jasmin en Tunisie ou le mouvement des indignés à Athènes constitueront également la matière brute à un projet global qui se dessine alors lentement : Small is big. Un leitmotiv pour dire et mettre en lumière les luttes, se rapproprier les combats, traverser et témoigner des grands courants de résistance. « Lanceurs d’alertes, réfugiés, activistes au sein de structures humanitaires ou Femens sont quelques-uns des combats et engagements promis à tenir l’a »che à l’avenir dans mon travail » confie l’artiste.